27 mars 2011

Demi-pinte pygmée

Cheminant de biais dans les circonvolutions distordues de mon cerveau malade, le dernier mot du billet précédent m'a amené, du coq à l'âne, à offrir aux lecteurs de cette cyber gazette superfétatoire le plaisir de revoir l'un des films de Tex Avery que la Warner, détentrice des droits, a scandaleusement cru bon de devoir cacher à la vue du public, pour complaire préventivement à quelques putatifs crétins bien pensants qui n'avaient pourtant pas seulement eu le temps de donner de la voix avant de voir leur plus intimes désirs et leurs plus malsains fantasmes lâchement réalisés.



J'en profite pour signaler que le fameux ouvrage que Patrick Brion avait consacré à Tex Avery en1984, épuisé, a été réédité par le Chêne en 2009, grâce à quoi j'en ai fait l'acquisition à vil prix chez un soldeur des bords de l'Ill. Avis aux amateurs.

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